Voici ce que les somnifères ne réparent pas…

Tu savais que près de 4 millions de Français prennent régulièrement des somnifères ?

Moi je t’avoue que ce nombre me donne le tournis…

Parce que derrière ce chiffre, il y a des femmes comme toi, fatiguées mais lucides, qui n’en peuvent plus de se réveiller encore plus épuisées qu’en se couchant.

Des femmes qui prennent “ce qu’il faut” pour dormir… mais qui sentent bien, au fond, que ce n’est pas du vrai repos.

Et si le problème, ce n’était pas ton corps… mais ce qu’on t’a appris à croire sur le sommeil ?

“Dormir, ce n’est pas juste être inconsciente. C’est se réparer de l’intérieur.”

Réponds en un clic, ça m’aide à mieux comprendre ce que tu traverses :

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Ils sont partout… dans les tiroirs de chevet, dans les trousses de secours, dans les conversations à demi-mot.

Et pourtant… on en parle très peu.
Ou alors avec gêne, voire honte.

Plus de 9 millions de Français consomment des somnifères ou des anxiolytiques.

Parmi eux : des femmes fortes, sensibles, compétentes, responsables… qui tiennent bon toute la journée, mais qui, la nuit venue, n’en peuvent plus de lutter.

Et quand le mental tourne en boucle, quand le corps ne veut pas lâcher, quand les réveils sont plus violents que les nuits… prendre un cachet devient une solution.

Pas par faiblesse, mais par instinct de survie.

Mais voilà : ce qui soulage à court terme finit souvent par enfermer.

Les somnifères n’éteignent pas le feu intérieur. Ils calment les symptômes, sans toucher à la cause.

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Les somnifères ne font pas “dormir”.

Ils anesthésient ton système nerveux pour induire une forme de sommeil artificiel.

Un sommeil qui peut sembler efficace car tu t’endors vite mais qui n’a pas la même qualité neurophysiologique.

🔍 Concrètement :

• Ils raccourcissent ta phase d’endormissement,
• Prolongent ta phase de sommeil léger,
• Mais réduisent ton sommeil profond et paradoxal (celui qui régénère vraiment),
• Et perturbent souvent tes cycles naturels.

Ce sommeil est plus fragile, plus segmenté et souvent non réparateur.

C’est pour cela que tu peux dormir 8h… et te réveiller épuisée.

Si tu prends (ou as pris) des somnifères, ne culpabilise pas.

Mais pose-toi cette question : “mon sommeil est-il vraiment reposant ou juste interrompu artificiellement ?”

Commencer à faire la différence, c’est déjà reprendre le contrôle sur ton sommeil.

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Ton corps sait naturellement dormir…

Mais quand tu prends régulièrement un somnifère, ton cerveau délègue ce rôle à la molécule, à de la chimie.

Petit à petit, il désapprend certaines fonctions essentielles :

• La régulation hormonale (comme la sécrétion de mélatonine),
• La capacité à ralentir de lui-même,
• Les signaux internes de sommeil,
• La mémoire corporelle du repos.

C’est comme si ton système nerveux disait :
“Puisqu’on m’aide de l’extérieur… je n’ai plus besoin d’apprendre à faire seul.”

Résultat : Dès que tu arrêtes ou réduis le traitement, ton corps panique, ton sommeil se dérègle encore plus… et tu te sens piégée.

Ne crois pas que ton cerveau est “cassé” et que c’est totalement fichu.
Il a juste perdu l’habitude.
Et ça se réapprend.

Doucement, avec patience, et surtout… avec confiance en ton propre rythme intérie

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Sortir des somnifères ne signifie pas “arrêter du jour au lendemain”.

Cela signifie retrouver confiance en ton propre système nerveux.
Le rééduquer en douceur.
Lui redonner les bons repères.

Cela passe par :

• Réhabituer ton corps à une régularité (horaires, lumière, rythme),
• Reprogrammer ton système de vigilance (avec des techniques de désactivation mentale),
• Réassocier ton lit au sommeil (et non à l’anxiété ou à la lutte),
• Apprendre à créer une descente sensorielle propice à l’endormissement.

Ce n’est pas une solution miracle.

Mais c’est une rééducation profonde et durable, pour ne plus être dépendante d’une molécule pour dormir.

Alors commence par te demander :
“Qu’est-ce que j’aimerais ressentir en m’endormant ?”

Et chaque soir, crée-toi une petite action qui t’y amène, pas à pas, sans pression.

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Ce n’est pas parce que ton corps a eu besoin d’une aide chimique… qu’il ne sait plus faire.

Il a juste besoin d’un cadre, de patience et d’un peu d’amour.

Depuis plus d’un an , je ne propose plus mon programme SLEEP CALM® en autonomie.

Mais cet été, j’ai décidé de rouvrir l’accès à celles qui veulent reprendre leur sommeil en main, à leur rythme sans attendre “le bon déclic”, pour attaquer la rentrée différemment.

✨ Ce ne sera pas un lancement classique : quelques surprises et la promesse d’une vraie transformation intérieure ✨

Si tu veux être tenue au courant en avant-première (et ne rien rater), inscris-toi dès maintenant sur la liste d’attente juste ICI.

Je t’en reparle très bientôt 💙

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Prends soin de toi (et de ton sommeil).

A dimanche prochain,
Angel 💤

Et n’oublie pas, avec l’effet cumulé, tes petites habitudes mises bout à bout peuvent faire un grand changement à la fin ✨🫶🏼